Poètes et interprètes | Qui es-tu, poète ? Nom : Emmanuel Rey (avec une prédilection pour Isidore sur scène) Règlement intérieur : Une existence tiraillée entre Paris et tous les « trouducs » de France et de Navarre tant que la démesure et le vertige qui s’y déploient parviennent encore à enchanter la vision, à exalter le frémissement poétique et faire la nique au pesant esprit utilitariste de l’époque... Programme : Les mots, la musique, la danse, la scène de théâtre, les arts de la rue, tout reste encore dans son unité primordiale d’avant le déluge... Or donc œuvrer pour cohabiter en bonne intelligence avec chacun, lui offrir des services de simple artisan, sans trop de prise de tête (ni de bec d’ailleurs, on sait bien que les muses sont fort jalouses) et au final s’amuser le plus possible... Moyens : écrire des poèmes, des textes, des chansons, composer de la musique et mettre tout cela sur scène autant que faire se peut. Quelques réalisations (au sein de la Cie Barcarolle) : « Le jardin, la nuit... » automne 2008, compositions personnelles, en solo, puis avec Thérésa Doyle au Trapèze en 2010. « Musique pour le plaisir » depuis 2005, Récital de mélodies françaises avec Geneviève Barret. « Un si beau voyage » 2002-2005, théâtre musical, en solo. « Chansons et Paysages » 1998-2002, compositions personnelles pour chant et piano, en solo. « Cabaret Insolite » 1994-1996, chansons françaises avec A. Guil. « Mr Gromago au pays des songes », 1995. Théâtre musical jeune public, avec A. Guil et G. Martin. « Le Crépuscule de l’Ange » 1993-1996, théâtre musical avec A. Guil. « Mazam al inawé » 1992-1994, conte musical en collaboration avec A. Guil comédien. « Plock et Plinius » 1991, spectacle de clowns avec A. Guil et J. M. Vier. « Guitares en duo » 1979-1981, compositions pour 2 guitares avec Geneviève Barret. Publications : Il va peut-être falloir y songer... Remerciements : À ce beau navire (et aussi frêle esquif), la Cave à poèmes et son équipage au service de la poésie, pour son accueil fraternel qui donne beaucoup de courage dans cette traversée fort aléatoire, il faut bien le dire... Site : Emmanuel Rey Isidore
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